Parler pour mettre fin à la violence avec Judith Chemla
Métamorphose, éveille ta conscience ! - A podcast by Anne Ghesquière
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/!\ TW violences conjugales : si vous êtes victimes de violences, contactez le 3919 /!\Aujourd'hui, dans Graine de Métamorphose, Claire-Marie Dikanska reçoit Judith Chemla, actrice et chanteuse lyrique. Comment sortir du schéma des relations violentes ? Quel impact peut avoir la libération de la parole pour les femmes victimes de ces violences ? Notre invitée a récemment osé libérer la parole sur les violences conjugales. Dans son livre, Notre silence nous a laissées seules, aux éditions Robert Laffont, elle raconte son histoire, elle brise le silence et pose des mots sur ce qu'elle a subi. Un témoignage sensible mais nécessaire pour faire changer les mentalités et la société. Judith Chemla apporte au travers de son histoire les clés pour comprendre le système dominant dans lequel s'inscrivent ces violences. Elle questionne les différentes injonctions induites aux femmes et aux hommes et propose des pistes de solutions pour mettre fin à ce système. Épisode #92Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Judith Chemla :Les relations toxiques de Judith ChemlaRepérer les indicateurs de dangerUn système judiciaire qui ne protège pas assez les victimesL'écriture pour aider à se guérirL'importance de reconnaître et de ne pas tolérer la violenceChanger les récits contés aux enfants pour une éducation plus saineQuelques citations du podcast avec Judith Chemla :"Il y a toujours pire que notre histoire donc on minimise.""On prend la parole quand on n’a plus le choix.""Il y a une masse immense de femmes qui se taisent.""C’est la culture de la relation qui doit être nourrie et non la culture de la domination.""La charge de culpabilité est sans cesse reversée sur les victimes. C'est un mode opératoire systématique des agresseurs."Photo (c) Audoin Desforges_Pasco&co Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.